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» Eh bien ! alors, continua de Wardes, puisqu'il nous est si difficile de nous entendre sur La Vallière et Bragelonne, causons de vos affaires personnelles. Mais, dit de Guiche, je n'ai point d'affaires personnelles, moi. Vous Chapitre CLI Comment de Wardes fut ... 161 Page 167 Le Vicomte de Bragelonne, Tome III. n'avez rien dit de moi, je suppose, à Bragelonne, que vous ne puissiez me redire, à moi . lacoste soldes polo
Non. Mais, comprenezvous, de Guiche . c'est qu'autant je suis ignorant sur certaines choses, autant je suis ferré sur d'autres. S'il s'agissait, par exemple, de vous parler des relations de M. de Buckingham à Paris, comme j'ai fait le voyage avec le duc, je pourrais vous dire les choses les plus intéressantes. Voulezvous que je vous les dise . De Guiche passa sa main sur son front moite de sueur. polo lacoste pas cher chine Mais, non, ditil, cent fois non, je n'ai point de curiosité pour ce qui ne me regarde pas. M. de Buckingham n'est pour moi qu'une simple connaissance, tandis que Raoul est un ami intime. Je n'ai donc aucune curiosité de savoir ce qui est arrivé à M. de Buckingham, tandis que j'ai tout intérêt à savoir ce qui est arrivé à Raoul. À Paris . Oui, à Paris ou à Boulogne. polo lacoste pas cher
Vous comprenez, moi, je suis présent : si quelque événement advient, je suis là pour y faire face . tandis que Raoul est absent et n'a que moi pour le représenter . donc, les affaires de Raoul avant les miennes. Mais Raoul reviendra. Oui, après sa mission. En attendant, vous comprenez, il ne peut courir de mauvais bruits sur lui sans que je les examine. D'autant plus qu'il y restera quelque temps, à Londres, dit de Wardes en ricanant.